Le Quotidien de l'Art

L'éblouissant début de Frieze Masters à Londres

Époustouflant, éblouissant, grisant. Le superlatif le dispute à l'hyperbole pour décrire la foire londonienne Frieze Masters, qui a ouvert ses portes hier à un parterre de VIP. Les organisateurs ont ménagé des allées aérées et évité de sectoriser les galeries par spécialité, à l'inverse de Tefaf à Maastricht. Il en résulte un salon fluide et éclectique, à taille humaine, plaisant à parcourir, et d'un niveau renversant. « Il y a du plus grand au moins grand, mais tout est d'immense qualité. Les marchands ont sorti ce qu'ils avaient de meilleur », confiait le collectionneur parisien Xavier Guerrand-Hermès, qui pourrait se laisser tenter par un tapis Moghol chez Moshe Tabibnia (Milan). « C'est authentiquement plus plaisant que Maastricht », déclarait pour sa part Sir Norman Rosenthal, ancien directeur de la Royal Academy of Arts à Londres. Tous les habitués de la foire d'art contemporain Frieze n'étaient pas au rendez-vous, certains n'arrivant que le lendemain,…

L'éblouissant début de Frieze Masters à Londres
L'éblouissant début de Frieze Masters à Londres

Les abonnés ont accès à l'intégralité des articles du Quotidien de l'Art.

Découvrez toutes nos offres d'abonnements.

Je m'abonne

Vous pouvez aussi profiter d'un accès gratuit de 30 jours.
En savoir plus

Article issu de l'édition N°234